Samedi 14 avril 2007 à 12:22


    A vous mon amour recevez l'expression sincère de mes salutations émérites, ainsi que la noblesse utopique de mon âme....
   Acceptez ces pensées dérobées, d'une absence bien que courte semblant un voile d'éternité à mes yeux blessé.
   En votre absence en vérité le temps m'a semblé bien long, pourquoi est-ce que la torsade du temps c'est elle écroulée en un vol d'oiseaux aux plumages d'argents, oiseaux immobiles
   Le baiser que vous m'avez donné en rêve c'est fallacieusement emparé de moi, il a marqué de sa plume sauvage le creux de mes rêves.
    Quel grand drame que de ne plus ressentir vos douce lèvres, s'abattre comme une pluie de soi sur mon corps !
    Que peut-il y avoir de plus nécessaire que la fusion de nos esprit ? Y a-t-il rêve plus fou que celui-ci, mais moi je me plait à y rêver.



     Cette image transcrit parfaitement mon ressentiment actuel, tu étincelle seul au milieu de tous     
       Tu trouveras peut-être l'image que je te dédit stupide et trop enfantine, je me plait à croire que je connais assez ta valeur pour savoir que tu saisira l'essence de ma pensée
       C'est pour moi une parfaite contemplation, le vent du soir balaye, les plis de sa robe bleuté. Les gouttes de rosée matinale perlent lentement sur sa surface.
         Je commence à la connaître et pourtant j'ais encore tant à apprendre d'elle. Me faudrait-il l'éternité pour ne plus la frustrée ? Pour ne plus la souillée de paroles maladroitement échappées
         Ce soir dans le silence de mes murs, je repense à cette vision, du vent qui s'engouffre sur une plage bretonne, et de la course effrénée de demi-elfe . Un sourire s'insinue sur mon visage, cette vision est belle et pure merci de l'avoir formulée  
          Vien mon ange jouer encore un soir au funambule sur les rayons de lunes, il me reste des larmes a versée dans le creux de tes mains, et une passion dévorante à faire rugir…


Mercredi 11 avril 2007 à 14:57



~~{--  *- * ...A ma grande surprise, je constate qu'en passant sur mon blog une envie irrésistible me prend !

* Certains ont envie de chocolat de sucre de drogue, mais moi en cet instant j'ais une envie irrépressible de bleu !
* Ce bleu glace allié a du noir, j'ais toujours trouée que ces couleurs allaient bien ensemble.
* Mais aujourd'hui je vais pouvoir satisfaire ce caprice matinal, puisque c'est de mon blog qu'il s'agit

* Ces couleur me transportent, je ne saurais dire pourquoi, comme une envie d'évasion.
Cella me rappel sûrement le parfum d'un océan nocturne ou d'un ciel marin au crépuscule

* Peut être qu'un autre j'aurais besoin des couleurs suffocantes à dominantes rouge et jaunes, ou encore orange.
* Mais pour le moment je me contente de la douceur du bleu, et de sa tendre fraîcheur. Voir même une extrême froideur, mais une beauté si intense pourtant que je me plait à la contempler.

* En y pensant, est-ce un trait psychologique?
* Est-il possible de penser, que les couleurs influence l'esprit, ou alors est-ce l'esprit qui perçoit et influence, la perception de couleurs ?
* J 'ais toujours pensé que certains schéma de couleur oppressent et que d'autre libère. La libération par les couleurs si c'était possible ?
L'entrée dans un paradis à la portée de tous, et non pas du stupide ou du raffiné



* Bref je divague…

Mais je veut du BLEU  ...*-*--}~~



 Et n'étant pas artiste, un grand merci a déviant art et tous ces auteurs

Mercredi 11 avril 2007 à 3:27



Perdu dans cet endroit charmant et chatoyant, à la frontière de ce qu'on nomme communément la conscience.
Quelque part entre la paix total et la guerre incessante, dans ce lieu appelé mémoire, une chose germa du chaos.
La douce folie qui drape d'un reflet d'or les murs épais d'une caverne que je nommerais si je m'en souviens: le corps.
Perdu dans la contemplation quasi divine, de ce qui est la fin, de ce qui est l'espoir le plus sombre qu'une mortel puisse connaître, le dernier réconfort d'une âme souillée par ce monde : LA FOLIE

Oui, moi  j'ais été atteint pour partie, de cette chose que l'on définie par folie. C'est elle qui me fait confondre amitié et horreur, celle qui me fait voir des têtes d'épouvantes jaillir de ses murs couleur noir jais.
C'est elle qui a fait de mon cœur le dernier champ de bataille ou je tente réellement de lutter pour survivre. Tout en dehors n'est que chaos et désolation, je ne vie que pour voir le sang perler sur les prairies de ce monde. Voir ce flot épais empli d'hémoglobine, charrier des mottes de terres en contrebas.
Pouvez vous comprendre ce qui peut traverser un esprit qui lorsqu'il scrute le ciel ne voit que des signes le poussant à tuer

Il n'y ni courage ni force dans les actes d'un dément ! Pas l'ombre d'une chance, mais le spectre immense de la renonciation, et dans mes brefs instants de lucidité, j'écris inlassablement pour ne pas perdre toute traces d'humanité.


Je vous le dit la maladie est une gangrène, que les autres ne peuvent pas comprendre, lorsque vous la croisée dans ses pires formes elles vous effraye. Et alors que faites vous ?
Vous lui tourner le dos en espérant qu'elle ne vous ais pas aperçue.
Et lorsque vous croisé un fou quel est votre réaction ?
Ce regard plein de compassion futile que je sent se poser sur moi m'irrite et alors je sent la violence monter en moi comme une envie de vous tordre le coup. Comme une envie de voir se rictus de frayeur s'afficher sur votre visage blême et penaud . Le mien carnassier pencher distraitement sur votre longue agonie !

Ou alors vous riez de ma folie, me trouvant idiot. Mais je le suis et je le sais et ces rires qui fusent m'irrite aussi, rien ne peut calmer un fou. Qu'il soit pris dans une pitié ombragent ou une dérision affligeante il meurt d'envie de se venger.
Je pense que tous ceux qui sont malade ou diminués peuvent ressentir cela !

A leur place que feriez vous ? Supplieriez vous les cieux qu'on vous délivre de cette malédiction ?
Pourtant les hommes peuvent le faire mais il n'y pensent pas, surtout dans cette époque de chaos de sang et de violence, ou règne le plus fort

Je sent la folie me gagner pas à pas… Au fur et à mesure que j'écris ressentez vous ma haine montée mon aversion pour vous tous.
Je vois le rouge s'affolé il est déjà partout recouvre les flaques de boues, dévale les ruelles pigmente les fleurs.
De main je réécrirais, ou après demain, … si je peut… oui encore…meurt…jamais!

Et pour finir cette déflagration de l'âme le cœur qui bondit puis la fin de toute chose consciente place a la FOLIE


Mardi 10 avril 2007 à 15:27



Enfin les vacances !
Enfin le temps de poster sur mon blog, j'espère pouvoir me libérer un peu l'esprit, ceci étant mon but avoué.

Plusieurs remarques, je sent que mon périple au Hellfest touche à sa fin : http://www.hellfest.fr/index2.html
Tellement de groupes de qualités, que j'aurais aimé voir jouera seulement quelques poignées de mètres de moi, mais 145€ l'évasion, sa ruine !!
J'aurais bien aimé savoir quelles sensations, cela fait-il de voir jouer les groupes que l'on écoute sans cesse chez soi !!
Enfin je garde espoir malgré tout !!

Sinon je vais pouvoir entamer les Larmes du Diable, de C.J.Sansom, je ne sais pas ce qu'il vaut, l'avenir me donnera bientôt une réponse.

Je sort beaucoup en ce moment, je rentre tellement tard que la fatigue est très présente, je n'arrive pas à travailler ce qui ne présage rien de bon.
Mais partant de l'hypothèse ou les notes et les devoirs ne sont que  des chosesmatérielles et à l'inverse  les constructions sentimentales et la promenade de l'esprit (son épanouissement) sont immatérielles et supérieur.
J'en arrive à la conclusion que la première ne doit pas empiéter sur la première, conclusion qui arrangera tout les feignants, mais pour citer les phrases bateaux, on ne vie qu'une foi et j'entend bien en profité au détriment du scolaire.

Alors pour tenir je me drogue à Elliot Smith, en ce moment même j'écoute son album Eother-Or, trésor dont une personne très chère m'a fait cadeau. Alors je laisse paisiblement la mélodie emplir l'espace vitale de ma chambre et quand à moi je glisse dessus, et là je joue au funambule entre rêves et éveil, écrivant par brides intelligibles.

Je vais rester un peu en instant de stase, pour aller m'écraser plus tard sur mes cours de droit !

arigato gozaimasu, à tous!


Mardi 13 mars 2007 à 18:01

Ces images m'on agréablement surprises quand je les ais découvertes, j'èpère qu'il en sera de même  pour vous.
J'aime , je l'avoue contempler les vices, admirablement décris ici

Pensée d'un profane pour Marta Dalhig







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