Mardi 2 décembre 2008 à 15:14

« Il fait froid susurra-t-il. »
Le r
egard perdu dans l'immensité de cette nuit de décembre.
Si
son corps était parcouru de long frissons glacials, son esprit lui se voyait en proie à des convulsions de stress.
L
es mots prononcés glissaient sur lui, il ne les saisissaient plus. Il savait depuis longtemps ce qu'il fallait faire, ce scénario milles il l'avait imaginé, calculé minutieusement. Mais ces choses ne se calcul pas , elle se vivent.
Soudain, il pris peur, car il savait que ces émotions allaient rejaillir qu'il ne pourrai cette fois les refreinées.
« je devrais peut-être rentré il est tard . »
Enfin maladroitement il l'embrassa, des secondes interminables , de celles qui suspendent la course des étoiles. De celles qui viennent confirmer la théorie de la relativité.
Pu
is vient un réconfort, un chaleur hélas brève, elle devait déjà partir. A peine la magie opérée, celle-ci devait disparaitre en volutes fumantes.

« 
Souvient toi de ce 1er décembre, souvient-en à l'oubli je ne puis me résoudre. » Se disait-il une sourire se dessinant au coin de ses lèvres.
Bie
n maintenant le sommeil il en avait besoin !

« M
orphée.... Vient là ! »


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Lundi 17 novembre 2008 à 20:42

 


Lol ...

Mdr ... tg .... çc  .....

Toutes ces nouvelles expressions vident notre langue de sa saveur. En corrigeant certains écris je constate avec une certaine horreur que les adolescents confondent abusivement l'imparfait avec l'infinitif.
Étant moi même une bille en grammaire et conjugaison, je ne peut que m'interroger avec détresse sur la situation

Si l'on part du principe que l'homme est ce qu'il est grâce à son langage. Qu'il pense avec le support des mots. Alors la perte de vocabulaire, et du délice de la complexité d'agencement de longues phrases, va nous (que dis-je !!) les amener vers une absence de complexité dans le langage, les nuances, et dans la reflexion...

DAMNED




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Mardi 4 novembre 2008 à 22:50

Il inspira longuement la dernière bouffé de tabac, puis il jeta sa clope contre ce sol humide et suintant.
Il écrasa prompt
ement le mégot incandescent de sa bote de cuir bon marché.
I
l rajusta longuement sa montre, les reflets de cette immonde pleine lune parcourait le métal froid .
Lentement un r
ictus amer se dessina sur son visage buriné, ses yeux torves fixant le bout de cette longue ruelle qui lui semblait sans fin.
Du ha
ut de son impressionnante carrure, cet homme avait peur. Un frisson tel que l'ensemble de ses muscles se contractaient, dans un valse de spasmes sporadiques.
Lui qui ra
brouait , injuriait les plus faibles de son regard haineux, tremblait comme ces feuilles jaunies d'octobre.
Il avait tout simplement peur, peur du noir, peur de ce qu'il induisait. Il avait donc bien sur peur de lui même et de son inconscient. Peur de ce que son lui intérieur projetait sur le granit obscur de la nuit. peur de ses démons de minuit ?
Finalement , il fit demi tour, et prolongea ce pèlerinage nocturne d'au moins cinq bonnes minutes. De précieuse, minutes, car le temps est toujours un luxe, luxe avec lequel il aurait pu s'avachir dans son canapé fangeux, pour voir un de ces programmes de merde sur TF1. Un de ces programmes ou l'on étale la platitude de sa vie, comme si il s'agissait d'une mauvaise pièce de vaudeville. Il ne le savait pas mais mieux vaut errer dans les rue nocturnes, comme le font les chats de gouttières.


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Dimanche 26 octobre 2008 à 23:42

Obscure était la nuit..Froide était son essence...Lentement il posa son lourd manteau.
Tra
nsit de froid, glacé de doute il s'affala sur son sofa de soie.
Les braise fumantes crépitaient telle une apocalypse naissante.
L
à devant ce feu éteind mais fumant il se sentait bien... en sécurité.
En po
sition fétal il aspirait a une paix justement mérité et longuement savouré.
Nul besoin de passion, nul besoin de coeur, nul besoin de pitié ou de compassion...
Bes
oin de rien, rien que ce tas de braises fumantes...
Le
ur chaleur affable et perdue lui sufisaient... Cet homme paulà comme l'est le chat était enfin en paix... Du moins son humeur présente lui permetait de penser ainsi...
I
l est 2h55 et l'homme chat est éreinté, il va s'emmitouflé sous sa lourde couette, un livre "Coeur de loki " dans le creux de sa mains... Les stones comme musique de fond, et peut être même un soupson de Vodka TAGADA.....
Q
u'est-ce que la vie si ce n'est ces bonheurs les plus simples ?
Je divague ? Je vogue ? Je me drogue ?
Je fuit ? Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Combien de temps ?
Des souvenirs ? Le passé ? Le futur ? Demain ? Le néant approchant ?
P
uis cette dernière lutte, ce dernier sourire que tu m'as offert, puis plus rien ...


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Dimanche 19 octobre 2008 à 23:39



Il se fait tard, et après 11h de sommeil cumulé en 4 jours ca donne CA

Un vol de nuit.... Rapide et efficace

Comprenne qui pourra, donc TOI , non ?






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