Mercredi 22 novembre 2006 à 21:09


Ce message n'est pas pseudo écolo je ne l'écris pas pour moraliser, car j'ais la conviction que le mal est fait  qu'il est déja trop tard, c'est une pure réflection....Pour ceux qui rêves d'avoir des enfants et qui ne le pourront pas...ceux qui revent de vivre simplement et qui seront peut être condamnés... Peut être. c'est vrai ....Dans longtemps ? Qui sait vraiment peut  être bien plus vite qu'on ne le pense...

Les charmantes créatures que nous sommes tous vont bientôt réaliser le plus grand raz de marré jamais vu l'anéantissement totale de tout espèce vivante.
La plus grosse catastrophe du siècle....
mais rien ne semble vraiment nous inquieter....

Pourtant....

En 2050,  la surpêche et la pollution aura détruit toute vie aquatique


Les humains consoment actuellement deux planettes terre... Mais nous n'en avons malheureusement qu' une..

Le niveau des mers qui a déja monté de 20 centimetres va poursuivre son assention pour recouvrir les terres habitables...

Qu'elle visage d'horreur vont-il avoir quand il sauront tous qu'ils sont condamnés à mort par la suite de l'evolution "naturelle" de l'homme....
Qu'elle hironie de voir que l'être le plus évolué est finalement condamné a mort si il continue ainsi... Il c'est fixé un mur plus haut et plus dangereux que n'importe quel autre...

Peut être qu'après une existence éphémère cette être si spétial est si paradoxale s'éteindra embrasé sous son propre poid, peut être que les vents souffleront bientôt sans rencontrer de vie humaine...

Peut être, toujous des si...et finalement ?.... probablement...vraissemblance dites vous  ? certitudes....
*** Puis plus rien le silence vide de toute humanité ***




Dimanche 12 novembre 2006 à 19:18

Sombres brumes, écho d'un matin cendré...
Une cendre brûlante une cendre si noire, autant que la nuit, la lassitude de vivre ici ...
Tant de larmes, mais quand les larmes tarissent il ne reste que le sang qui coulent encore...
Il glisse le long du visage, signe d'un désespoir accablant, les larmes de sang sont si douloureuse....
Mais je les ais connues, elles m'ont secoururent....

Je me lève sans toi tu n'est plus là, mon pas est vide... Vide de ton amour, sans but ...
Je survie dans un monde que je regarde le cœur serré....
Il défile de ce regard brisé, une âme tourmenté qui ne trouvera plus de repos ....
Tu t'es envolée si vite si loin de moi, que je suis encore entrain de serrer contre moi le vide que tu as laissé dans ton sillage....

J'essaye de verser mes larmes de sang sur ton épaule mais tu n'es plus là...
Qui viendra me sauver maintenant ?
Qui pourrait entendre les cris d'agonie d'une âme vierge de cette tragédie ?
Ma vue se trouble déjà ,ta présence qui emplissait tout fait place a ce vide rayonnant...
Chaque seconde je sent ton souffle qui s'éloigne, ton visage angélique qui s'en va là bas...

J'hurle dans le vent qui me fait face...le seul réconfort son souffle glacé qui balaye ses larmes rouges....
Je sent cette chose en moi le désespoir de t'avoir perdu qui détruit physiquement mon corps...
Une douleur si intense que j'entend les gens murmuré et que le monde tourne, et je vois ta silhouette partir....
Condamné a cette havre gris, je vais y enterrer mon agonie et mourir avec elle...
Ce chant triste qui monte, tout m'a abandonné décidément... Je tenais a trop peu

Laissé moi encore pleurer, souffrir l'amertume ne disparaîtra pas comme cela, il faut du temps au cœur pour éponger ses maux, et les tiens sont incalculables....
Il m'ont traversé de part en part...je ne marche plus a tes cotés , si loin de ton sourire....adieu     

Mardi 7 novembre 2006 à 23:05


Il est 22h58 et je suis djà fatigué...
Voila un rapide présentation, pour ne pas que ce blog soit supprimé et retourne a l'oublie du néant universel duquel il ets né...

Je suis un petit être qui passe en coup de vent...
Qu'une flamme éteinte qui attend qu'on l'embrase
Le poison nécessaire d'une vie assez agréable

J'aime les balades nocturnes , les étoiles, le froid la solitude pendant un moment...
J'aime les baiser sous la pluie...

enfin bref je suis un soupson de moi, et certainement un soupson d'une personne qui s'ignore encore...

Mardi 12 septembre 2006 à 15:01


Ces quelques lignes son dédiées a une personne en particulier qui risque de se reconnaître…
L'original étant perdu, rien ne sera jamais comme avant…
Voici les brides qu'il reste de ce que j'avais écris…

«  J'aurais aimé écrire ceci avec délicatesse et lenteur…
Écrire avec ces plumes d'oies fines et sèches, qui provoque cet Oh combien agréable petit bruit de feuilles striées… Le grattement de la plume sur le papier inlassable moment de bonheur, tendre et imperturbable…
Une fois ce travail de script fini, plier la lettre  et la disposé dans ta très chère boite aux lettres…Tant de petites choses qui forment un tout…
Mais je n'ais que ce support informatique, avec ces lettres toutes égales ou l'accident la rature est absente, rien que ces manuscrits savamment alignées….

Après ce temps certes court mais tellement surprenant
Je repense inlassablement ces moments si passionnants
Ce n'est qu'une pensée qui se languissait de se taire
Juste un hommage qui crie jusqu'à enfin se satisfaire

Petit ange mélancolique et certes lunatique
J'entends toujours cette voix mielleuse et Oh combien mélodieuse
Petite artiste qui s'ignore tant  qui ne cesse de s'assujettir à ses craintes
Tu es toujours pour moi cette envolé lyrique et fantastique

Cette peur ténue de te décevoir ne m'a jamais quitté
Cet étrange vertige lorsque je plonge dans ton regard
L'accalmie que je ressens  au creux de tes bras
Toutes ces vapeurs alambiques inhalés près de toi

Tout ceci me conduisant à cela…J'en conclu donc que je suis toujours et indéfectiblement suspendu à mes désirs

Plutôt que de te dire je t'aime toujours , j'opte pour
«  Je te désire tellement ardemment que je brûle de t'enfermer une fraction d ‘éternité avec moi »






Samedi 9 septembre 2006 à 21:13



Par le carreau une fallacieuse lumière pâle...
Danse paléo-sarcastique et  tant satyrique
De cette si gracieuse mais déjà si hypocrite
Draper de son amour sordide et vestale

Danse danse morne femme à l'éclat immortel...
Parachève ce petit dédain tellement matériel
Danse danse vêtue d'innombrables linceuls
Étendue dans cet odeur vanille et tilleul

Je prends cette plûme étroite sèche mais rigide
Fragile mais si sobre, d'une splendeurs inégales
Secouée de spasme immonde et vaniteux...

cette plume laissant sous son empennage des figures affables...
ces figures dessinant le contour de cette femme...
Le superbe de ses courbes, ondulées harmonieuse...

C'est ce que je vois de cet homme qui peint...
Un artiste véritable, plongé dans ses pensées lointaines et perspicaces...





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