Jeudi 7 février 2008 à 21:41



Vaporeuse et spiritueuse tu me contemple mollement.Ton oeil morne mais lucide intercepte mes pensées, je la voit cette consience !.


"Consience, Oh ma consience, dois-je , ne dois-je pas ? Faut-il ne faut-il pas ? Est-ce bien , est-ce mal ?

-Tsss, de quoi me parles-tu encore? Je ne suis que ta consience ce n'est pas à moi de...Enfin si justement mais décide tout seul !

- Boudeuse... Mmmh. C'est pour cela que je me suffit de silence d'absence et de paresse ses dernier temps.

-Tu te suffis de ce qu'il suffit à un homme, de bien peu finalement, moi je suis plus vorace et plus folle, mais la consience tu sais bien Freud et tout et tout... L'inconsience, tu me bloques de toi même car tu as peur de moi ..Niark

-Etrange je te voyais différement,, maintenant que tu m'apparais je te trouve jeune, étrangement jeune...

- Et alors tu me voyait vieille philosphe, barbue, de blanc vetue... Que de folcklore ! Allez debout tendre imbécile ton reveil sonne, l'heure d'aller travailler tu as rêvé ,penses-tu qu'il soit possible de parler à sa consience ? "

Le rêve s'étire, la brume se dissipe et devant moi le bleu de ma chambre, le noir de mon classeur de cours, niark travail encore, travail toujours. C'est très idiot mais ce rêve je l'ais vraiment fait... Il étais 7h58 un mercredi matin, drôle de conversation, mais suptile illusion. Freud c'est-il emparé de mon âme, ou étais ce la réminissence de la philosophie..?

Et depuis j'ais passé ma journée, habituelle grêve de taxi, lutte contre le pouvoir et ses idées sogrenues.J'ais vu une fois de plus les citoyens râler contre cette oligarchie qu'on nomme republique francaise, et ou les élus doivent dirrigé pour le peuple... Mais les discour changent et reigne l'attraction du pouvoir plus que de la raison (désolé pour la note politique... Niark)


Dimanche 6 janvier 2008 à 21:52

Voila rien a dire...

Mardi 20 novembre 2007 à 21:58

 

  " Par contre il faudra que tu changes si tu veux rentrer dans la vie active"

 Je suis donc un spécimen qui ne correspond pas à cette "société", un soupson de trop. mes cheveux longs mes habits, ainsi chaque personne est jugée selon des normes et doit plier devant les convenances.
Malheureusement la sanction qui tombe pour un écart est bien élevée. je ne peut pas évoluer dans mon milieu sans me conformer au rang de mouton de panurge aisni je devrais les suivre. j'ais fait une lourde erreur j'aurais du choisir une voie plus libre.

  Dans la mienne, Les principe "tolérance, Liberté, audace" ne sont plus que des mots sans la saveur des idées qui les couvent... Une audace calculée, pleine de convenance.

  Je suis donc dans ma métaphase d'amertume.... Il faudra bien céder... Ou pas !




Mardi 9 octobre 2007 à 21:35




Mollement mais malencontreusement il se mouvoit mélancoliquement, méritant les malices malsaines maladroitement adressées à ce monsieur. Mysthificateur masqué méllant mysères moqueries  et morosité..

Né du néant, notoirement nécrosé ,nerveux il se noye dans sa nef , niiliste et négatif  à souhait. N'évoquant  que le nantissement néfaste nourrit par son être.

Jeudi 6 septembre 2007 à 1:31



Mon ange, je t'écris du souffle de ma pensée,
du murmure éparse d'une voix embrumée.
Un rêve a miroité tissant vers moi ce chemin
empli du noir de la nuit et de l'ocre du matin

Qu'est ce que Nous, qui suis-je , qui est tu ?
Deux inconnus connaissant nos pensées
Je sonde les tiennent  claires et éperdues
Tu plonges dans les miennes clairsemées

Avec le temps j'ais découvert cette vérité
Les instants perdus l'un avec l'autre ne sont que véritable
Ton absence me semble irréel, elle est ma lame, rouge sang
Enlace toi, plonge l'océan bleu de tes yeux dans les miens

J'aime , et j'adore profité de cet éternité
Sentir que tout disparaît mais vie
Sentir que toute la tristesse est un bonheur
Sentir que la haine et la jalousie sont passion

Dans ce rêve rouge fiévreux je chute sans fin
Dans ce rêve scintillant, je drape d'illusions de réalité
Dans ce rêve temporel je me perd
Dans ce rêve enfin le spectre se dissipe

Ces moments heureusement sont éphémères
Le temps aidant à les savourer plus que de raison
Recueillons ensemble les perles d'une des rare chose qui ne se paye pas
Si tu le veut bien, reste au cœur de mes rêves

Chuchote au creux de mes oreilles cette hymne
Les ténèbres de ton cœur rencontrerons les miennes
Le souffle de mon bonheur amplifiera le tient
Sens-tu cette éternité, brin d'herbe sur lequel tu t'assois ?

Voilà de rêve il est pour toi, tu l'apprécieras j'en suis sur…




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