Dimanche 12 novembre 2006 à 19:18

Sombres brumes, écho d'un matin cendré...
Une cendre brûlante une cendre si noire, autant que la nuit, la lassitude de vivre ici ...
Tant de larmes, mais quand les larmes tarissent il ne reste que le sang qui coulent encore...
Il glisse le long du visage, signe d'un désespoir accablant, les larmes de sang sont si douloureuse....
Mais je les ais connues, elles m'ont secoururent....

Je me lève sans toi tu n'est plus là, mon pas est vide... Vide de ton amour, sans but ...
Je survie dans un monde que je regarde le cœur serré....
Il défile de ce regard brisé, une âme tourmenté qui ne trouvera plus de repos ....
Tu t'es envolée si vite si loin de moi, que je suis encore entrain de serrer contre moi le vide que tu as laissé dans ton sillage....

J'essaye de verser mes larmes de sang sur ton épaule mais tu n'es plus là...
Qui viendra me sauver maintenant ?
Qui pourrait entendre les cris d'agonie d'une âme vierge de cette tragédie ?
Ma vue se trouble déjà ,ta présence qui emplissait tout fait place a ce vide rayonnant...
Chaque seconde je sent ton souffle qui s'éloigne, ton visage angélique qui s'en va là bas...

J'hurle dans le vent qui me fait face...le seul réconfort son souffle glacé qui balaye ses larmes rouges....
Je sent cette chose en moi le désespoir de t'avoir perdu qui détruit physiquement mon corps...
Une douleur si intense que j'entend les gens murmuré et que le monde tourne, et je vois ta silhouette partir....
Condamné a cette havre gris, je vais y enterrer mon agonie et mourir avec elle...
Ce chant triste qui monte, tout m'a abandonné décidément... Je tenais a trop peu

Laissé moi encore pleurer, souffrir l'amertume ne disparaîtra pas comme cela, il faut du temps au cœur pour éponger ses maux, et les tiens sont incalculables....
Il m'ont traversé de part en part...je ne marche plus a tes cotés , si loin de ton sourire....adieu     

Par HeartlessAngel le Samedi 18 novembre 2006 à 0:12
Et quels sont ces adieux, moi dont les yeux la voient chaque jour près de toi. De qui se rapproche t elle alors pour que je sente le froid m'envahir. Tu as son absence mais moi j'ai hérité du silence... Pourquoi ce froid glacial qui jamais ne se tarie, pourquoi la rivière me noie sans bruit. Profite de chaque seconde avec elle et prends en soin plus que de tes prunelles. Mais l'unique ange sur cette terre je le sais a bien le droit d'utiliser ses ailes...
 

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